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Bénédiction en Allemagne !

Lettre de l’archevêque de Bamberg en Allemagne que la responsable du réseau des Veillées pour la Vie en Allemagne a pu trouver dans sa boîte aux lettres

“Merci beaucoup pour votre lettre du 11 août 2018, dans laquelle vous m’avez informé des Veillées pour la Vie. Je vous remercie pour ces informations, dont j’ai pris connaissance avec intérêt. Je soutiens votre initiative pour la vie à naître avec ma prière et ma bénédiction.

Je vous souhaite bonne continuation, demande la bénédiction du bon Dieu et vous salue chaleureusement.”

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Offre d’emploi d’éducatrice spécialisée


A vos réseaux !


Une maison d’accueil en lien avec le mouvement des Veillées pour la Vie recherche en urgence une éducatrice spécialisée pour une de ses maisons d’accueil, basée près de Tour… Logement possible sur place. Ce poste est un remplacement en CDD de 2 mois donnant lieu à la possibilité d’une prolongation voir d’un CDI.

Vous avez de l’expérience dans le domaine social, vous êtes motivé pour vous occuper de jeunes femmes enceintes et de jeunes mamans, n’hésitez-pas à nous envoyer votre CV et votre lettre de motivation sur contact@veilleespourlavie.org et nous vous mettrons en relation avec la directrice de la maison d’accueil pour le détail de l’offre…

Pour découvrir une maison d’accueil et avoir un bref aperçu du travail des éducatrices spécialisées, voici une belle vidéo sur le sujet que nous avons réalisée avec les bénévoles du mouvement des Veillées pour la Vie :

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Succès de la Marche pour la Vie à Berlin !

De notre responsable réseau VplV en Allemagne :

Chers amis,

En cette fin de semaine nous avons participé à la marche nationale pour la vie berlinoise, qui a lieu une fois par an en Allemagne. Organisée par le mouvement Lebensrecht (“droit de vivre”), environ 5500 participants étaient présents. Cette marche a reçu la bénédiction officielle de la conférence épiscopale allemande et de quelques évêques protestants. Parmi les participants étaient représentés tout âge, tout métier (Dont des médecins et des sages-femmes) et toute confession (Nous pouvions y voir des catholiques, des évangéliques, des orthodoxes ainsi que des musulmans). A portée de main différents écriteaux tels que “L´avortement est injuste”, “Médecins pour la vie”, “Sages-femmes pour la vie“, “Responsabilité au lieu de l´avortement”, “C´est un enfant pas un choix” ainsi que des croix blanches en bois qui ont été distribuées cette année seulement au moment de la marche, les opposants de l´année dernière s´étant amusés à les brandir renversées en hurlant des blasphèmes au milieu de la foule pendant les interventions des référents. (Ce qui ne les a empêchés pendant l´intervention de continuer à hurler et siffler, en jetant des confettis et une bombe fumigène au milieu de la foule. Remercions les 800 policiers présents qui, nombreux devant l´agressivité grandissante des opposants à la marche pour la vie allemande chaque année, ont su assurer notre sécurité du début à la fin.) 

Je tiens d´abord à préciser pour que vous compreniez le contexte, qu´en ce moment l´article qui fait polémique et fait sujet de discussions passionnées en Allemagne est l’alinéa 219a du Code pénal, qui interdit toute publicité en faveur de l’avortement. L´an dernier par exemple, une doctoresse a été condamnée à 6000 euros d´amendes pour avoir déclaré sur son site web pratiquer les avortements. ( https://www.lacite.info/politiquetxt/avortement-allemagne) C´est pourquoi nous pouvions aussi voir de nombreux panneaux pour ou contre le 219a, faisant référence à cet alinéa. 

Parmi les référents, sont intervenus :

Sandra Sinder, conseillère de grossesse expérimentée chez “A.l.f.a” (Un des plus anciens mouvements pro-vie d´Allemagne)
Elisabeth Hugayo, mère de trois enfants, nous raconte son vécu dans son conflit de grossesse.
Un homme Israélien nous rapporta son expérience douloureuse. (Ne pouvant pas parler lui-même pour cause de maladie, sa femme a parlé pour lui)

Des membres du comité directeur du mouvement Jugend für das Leben (Jeunes pour la vie) ont pris la parole ainsi que Mechthild Löhr, membre du comité directeur du mouvement Lebensrecht (“droit de vivre”)

Malgré les sifflets et des hurlements, nous fîmes entre deux interventions une minute de silence pour les 100 000 enfants avortés chaque année en Allemagne.

Après une courte prestation du groupe chrétien “Könige und Priester” invité pour la Marche, nous marchâmes pendant deux heures environ dans les rues de Berlin avec nos croix et nos écriteaux. Une marche qui se voulait silencieuse, bien que certains participants se réunirent en groupe pour réciter le rosaire à voix basse.

Des opposants avec un potentiel agressif plutôt prononcé nous suivirent sur les côtés avec leurs propres écriteaux (dont certains étaient en forme de croix renversées), accompagnés de sifflets et de hurlements blasphématoires, dont un de leur slogans, devenue typique “Si Marie avait avorté, beaucoup de choses auraient été épargnées”. Ils nous jetèrent des tampons soi-disant usagés (peints en roses) des préservatifs gonflés et des confettis.  Une personne âgée fut jetée à terre et se blessa (La police recherche des témoins).

Certains se glissèrent discrètement parmi les marcheurs et créèrent soudainement au milieu de la marche un blocage de rue d´environ 20 minutes, puis furent interceptés par la police.

J´en profite pour vous faire passer un petit message chers amis : Pensez à ajouter dans vos prières ou dans vos veillées si vous le voulez une petite prière pour l´éclairage de nos opposants et la réparation des sacrilèges, ainsi que pour la sécurité de ceux qui sortent dans la rue défendre la vie dans des contextes parfois tendus. Ils en ont bien besoin aussi! 

Pour finir, la marche se termina sans incidents ultérieurs par une messe œcuménique, qui a lieu traditionnellement chaque année après la Marche pour La vie.

Avec ce petit compte-rendu, nous confions à vos prières la situation en Allemagne et seront ravis de votre présence physique ou en union de prières pour la prochaine marche. N´hésitez pas à venir nous soutenir, nous serons heureux de votre présence!  Merci et a très bientôt ! 

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50 ans d’Humanae Vitae !

Il y a 50 ans, le 25 juillet 1968, le Bx Pape Paul VI signait sa dernière encyclique, Humanae Vitae :

« Qui aime vraiment son conjoint ne l’aime pas seulement pour ce qu’il reçoit de lui, mais pour lui-même, heureux de pouvoir l’enrichir du don de soi. » (§ 9)

A cette occasion, nous vous proposons de relire un passage de notre neuvaine pour la Vie sur la paternité responsable…

 « Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas. » (Mc 10, 9)

Doctrine de l’Eglise

« Par rapport à la transmission des autres formes de vie dans l’univers, la transmission de la vie humaine a son originalité propre, qui dérive de l’originalité même de la personne humaine. La transmission de la vie humaine a été confiée par la nature à un acte personnel et conscient. » (Le don de la vie, p.12)

« C’est en sauvegardant ces deux aspects essentiels, union et procréation, que l’acte conjugal conserve intégralement le sens mutuel et véritable amour et son ordination à la très haute vocation de l’homme à la paternité. […] Est exclue également toute action qui, soit en prévision de l’acte conjugal, soit dans son déroulement, soit dans les conséquences naturelles, se proposeraient comme but ou comme moyen de rendre impossible la procréation. […] Si donc il existe, pour espacer les naissances, de sérieux motifs dus, soit aux conditions physiques ou psychologiques des conjoints, soit à des circonstances graves extérieures, l’Eglise enseigne qu’il est alors permis de tenir compte des rythmes naturels, inhérents aux fonctions de la génération, pour user du mariage dans les seules périodes infécondes et régler ainsi la natalité sans porter atteinte aux principes moraux que nous venons de rappeler. […]

En réalité, il existe entre les deux cas [régulation des naissances et contraception] une différence essentielle : dans le premier cas, les conjoints usent légitimement d’une disposition naturelle ; dans l’autre cas, ils empêchent artificiellement le déroulement des processus naturels. » (HV 12, 16)

« Il arrive souvent que la méthode (naturelle), détachée de la dimension éthique, soit mise en œuvre de manière purement fonctionnelle, et même utilitaire. Si l’on sépare la méthode naturelle de sa dimension éthique, on cesse de percevoir la différence qui existe entre elle et les autres méthodes (moyens artificiels) et on arrive à en parler comme s’il s’agissait simplement d’une autre forme de contraception. » (Audience de Jean-Paul II du 5 septembre 1984, §4)

Méditation – L’ouverture à la vie

Dans son dessein bienveillant, Dieu appelle les époux à participer spécialement à son pouvoir de Créateur et de Père, moyennant leur coopération libre et responsable. C’est ainsi, Il a décidé d’avoir besoin de nous pour donner la vie humaine. L’humilité de Dieu qui transparaît dans ce choix mériterait parfois d’être plus méditée.

Comme le rappelle l’Eglise, le Créateur a voulu rassembler deux significations fondamentales dans l’acte sexuel : l’union des époux et la procréation. Rentrer dans le projet de Dieu sur l’amour humain, c’est donc respecter ces deux dimensions, au risque sinon de devenir des “arbitres” du dessein de Dieu et non plus ses simples  « ministres » comme le dit Jean-Paul II.  En effet, il nous est demandé seulement d’être responsables de la vie, et non pas maîtres de la vie.

C’est ainsi que la contraception n’est pas considérée comme un moyen licite de réguler les naissances. Mais recourir aux méthodes naturelles n’est pas pour autant suffisant. Encore faut-il que cela soit fait dans une dimension éthique, et non utilitaire. Ainsi, non seulement l’Eglise demande de renoncer à la contraception dans les actes, mais elle nous invite aussi à abandonner notre “mentalité contraceptive” et de nourrir une ouverture à la vie dans laquelle Dieu peut s’inviter.

Prions !

Notre Père, Toi la source de toute paternité, viens nous éduquer à une juste responsabilité dans le don de la vie humaine. Apprends-nous à être des pères et des mères selon ton projet et no le nôtre.

NDLR : Cette neuvaine est en ligne chaque année durant les 9 jours qui précèdent l’entrée en Avent… Prochaine mise en ligne le 22 novembre 2018 !

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Belle fête de la Visitation

La Visitation, c’est 6 mois avant l’entrée en Avent : Notons bien la date dans l’agenda de notre paroisse… En 2018, les veillées pour la Vie auront lieu le samedi 1 décembre et au début de l’Avent… A vous de l’organiser avec votre curé !


Dépassons les 300 Veillées en 2018 !


Nous avions 280 Veillées en 2017, alors dépassons les 300 Veillées en 2018 pour témoigner de la renaissance de la culture de Vie dans notre société. Pour cela, prions Marie, celle qui a dit oui, celle par qui nous est ouvert les porte du Paradis… Prions Marie pour le renouveau de la culture de Vie et engageons-nous :

Je vous salue, Marie pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort. Amen

Méditons : Le mystère de la Visitation offre, toutes les dimensions du salut christique : une charité attentive ; une joie d’un cœur ouvert au projet de Dieu ; une vision de foi sur la nature et la mission de Jésus. Publié le 16 novembre 2016.

Le sens de la fête

Deux femmes se rencontrent, Marie et Élisabeh. Marie, à l’annonce de la grossesse de sa vieille cousine par l’ange Gabriel (Luc 1, 26-39), se met en route pour être aux côtés d’Élisabeth enceinte de six mois de Jean Baptiste. Les deux femmes se retrouvent (Luc 1, 39-56). A peine la salutation de Marie retentit-elle aux oreilles d’Élisabeth que l’enfant qu’elle porte tressaille en elle. L’évangéliste Luc précise qu’aussitôt Élisabeth fut remplie de l’Esprit Saint, déclarant Marie “pleine de grâce”.

Le mystère de la Visitation nous propose, en condensé, toutes les dimensions du salut apporté par Jésus : une charité attentive aux besoins des autres, surtout des plus pauvres ; la joie d’un cœur ouvert au projet de Dieu ; une vision de foi sur la nature et la mission de Jésus.

L’enfant a tressailli d’allégresse

Qu’un enfant bouge dans le sein de sa mère, rien que de très naturel. Mais l’enfant d’Élisabeth tressaille d’allégresse, on pourrait même dire qu’il “bondit de joie”. Voilà qui dépasse les mouvements d’un enfant à naître. En réalité, la rencontre d’Élisabeth et de Marie semble se calquer sur celle de David et de l’Arche d’Alliance (2 Samuel 6,2-11). Le roi David se met à tressaillir d’allégresse et s’écrie : “Comment se fait-il que l’arche du Seigneur vienne chez moi ?” Ce rapprochement des deux scènes permet à l’évangéliste d’exprimer la foi chrétienne. Marie, comparée à l’Arche d’Alliance, porte en elle celui qui est la présence de Dieu parmi ses frères. Élisabeth reconnaît en l’enfant de Marie son “Seigneur” et son propre enfant reconnaît en bondissant de joie la grandeur de Jésus.

Celle qui a cru

Élisabeth est “remplie de l’Esprit Saint”, autrement dit l’évangéliste la présente ici comme une prophétesse, une porte-parole de Dieu. Voilà pourquoi Luc note qu’elle “s’écria d’une voix forte”. Les lecteurs de cette scène de la Visitation peuvent comprendre que les paroles d’Élisabeth portent l’empreinte divine. Or ce que dit Élisabeth concerne Marie. Elle reconnaît d’abord dans sa parente “la mère de son Seigneur”. La prophétie d’Élisabeth culmine dans la béatitude qu’elle adresse à Marie : “Heureuse, celle qui a cru à l’accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur“. Marie est reconnue comme “croyante”. Elle a pleine confiance. Pour Luc l’évangéliste, c’est bien la foi qui caractérise la mère du Seigneur.

Une scène à contempler

Contemplons cette scène de la Visitation. N’est-elle pas le prototype de toute rencontre authentique ? Car notre vocation est bien de nous porter mutuellement cette Bonne Nouvelle : oui, en Jésus, Dieu a établi sa demeure parmi nous. Mais comment le pourrons-nous, si nous nous fermons à l’Esprit et à sa mystérieuse fécondité ? Alors, à la suite de Marie et d’Élisabeth, osons croire que Dieu peut faire merveille dans nos vies. Ouvrons-nous à sa présence agissante, pour connaître ce tressaillement d’allégresse qui fut celui de Jean Baptiste.

 

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Irlande : Gardons l’Espérance !

Caroline Roux, déléguée générale adjointe d’Alliance VITA et directrice de VITA International, était l’invitée de l’émission À la Source, le 29 mai 2018 pour décrypter les résultats du référendum irlandais sur l’avortement :

 

 

Un moine irlandais, du prieuré de Silverstream en la fête de la Très Sainte Trinité, le 27 mai 2018, nous invite à l’espérance :

Que reste-t-il pour nous? Je vais vous dire ce qui reste:

“Et maintenant il reste la foi, l’espérance et la charité, ces trois-là: mais le plus grand d’entre eux est la charité.” (1 Corinthiens 13:13)

Approchez-vous de l’autel du Saint-Sacrifice, même si nos ancêtres se sont rapprochés des Rochers Massifs. L’autel est le foyer divin de l’Irlande. Ce n’est pas pour rien que l’autel de l’Agneau fut montré à Knock en 1879. Tomber en adoration et en réparation. Pleurez vers la Mère Immaculée de Dieu, toujours Reine d’Irlande et Mère Douloureuse. Mon cher père, avec toute la sagesse de ses 91 ans, m’a dit hier: “Dieu a un plan. Dieu aura le dernier mot “. Et que dit Notre Seigneur dans l’Évangile d’aujourd’hui?

Il dit ceci:

“Voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la consommation du monde” (Matthieu 28:20). Dans cette promesse de Dieu, reposons toute notre espérance.

 

 

 

 

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Que disait Ste Mère Térésa, prix Nobel de la Paix ?

“Et je ressens quelque chose que je voudrais partager avec vous. Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ?

L’Écriture déclare elle-même : « Même si une mère peut oublier son enfant, moi, je ne vous oublierai pas. Je vous ai gardés dans la paume de ma main. » Même si une mère pouvait oublier… Mais aujourd’hui on tue des millions d’enfants à naître. Et nous ne disons rien. On lit dans les journaux le nombre de ceux-ci ou de ceux-là qui sont tués, de tout ce qui est détruit, mais personne ne parle des millions de petits êtres qui ont été conçus avec la même vie que vous et moi, avec la vie de Dieu. Et nous ne disons rien. Nous l’admettons pour nous conformer aux vues des pays qui ont légalisé l’avortement. Ces nations sont les plus pauvres. Elles ont peur des petits, elles ont peur de l’enfant à naître et cet enfant doit mourir ; parce qu’elles ne veulent pas nourrir un enfant de plus, élever un enfant de plus, l’enfant doit mourir.


Et ici, je vous demande, au nom de ces petits… car ce fut un enfant à naître qui reconnut la présence de Jésus lorsque Marie vint rendre visite à Elisabeth, sa cousine. Comme nous pouvons le lire dans l’Evangile, à l’instant où Marie pénétra dans la maison, le petit qui était alors dans le ventre de sa mère tressaillit de joie en reconnaissant le Prince de la Paix.


C’est pourquoi, aujourd’hui, je vous invite à prendre ici cette forte résolution : nous allons sauver tous les petits enfants, tous les enfants à naître, nous allons leur donner une chance de naître. Et que ferons-nous pour cela ? Nous lutterons contre l’avortement par l’adoption. Le Bon Dieu a déjà si merveilleusement béni le travail que nous avons fait, que nous avons pu sauver des milliers d’enfants. Et des milliers d’enfants ont trouvé un foyer où ils sont aimés. Nous avons apporté tant de joie dans les maisons où il n’y avait pas d’enfant !


C’est pourquoi, aujourd’hui, en présence de Sa Majesté et devant vous tous qui venez de pays différents, je vous le demande : prions tous d’avoir le courage de défendre l’enfant à naître et de donner à l’enfant la possibilité d’aimer et d’être aimé. Et je pense qu’ainsi —avec la grâce de Dieu — nous pourrons apporter la paix dans le monde. Nous en avons la possibilité. Ici, en Norvège, vous êtes — avec la bénédiction de Dieu — vous êtes assez à l’aise. Mais je suis sûre que dans les familles, dans beaucoup de nos maisons, peut-être que nous n’avons pas faim pour un morceau de pain, mais peut-être qu’il y a quelqu’un dans la famille qui n’est pas désiré, qui n’est pas aimé, qui n’est pas soigné, qui est oublié. Il y a l’amour. L’amour commence à la maison. Un amour, pour être vrai, doit faire mal.”

Ste Mère Teresa, discours de réception du prix Nobel de la Paix 10 décembre 1979 à Oslo.

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